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تعريف داء السكري ...

مرض السكري هو مرض مزمن ينقسم إلى ثلاثة أنواع : مرض السكري نوع 1، نوع 2 ومرض السكري الحملي الذي قد يصيب المرأة الحامل، في جميع هذه الحالات إذا لم يعالج داء السكري ، فإن مستوى السكر (الجلوكوز ) يرتفع في الدم.

Problémes du débit artériel pendant la dyalise

causes possibles,les signes et conduite à tenir

الثلاثاء، 6 سبتمبر 2016

VERNIX CASEOSA



VERNIX CASEOSA





Substance blanche grisâtre recouvrant la peau du bébé in utero, le vernix caseosa joue un rôle clé durant la grossesse et au moment de l’accouchement. Alors à quoi sert-il et pourquoi évite t-on de l’enlever dans certaines maternités ?
1- Le vernix caseosa : qu’est-ce que c’est ?
Le vernix caseosa est la matière visqueuse et cireuse qui recouvre un nourrisson lorsque celui-ci vient au monde. Très adhérant, il protège la peau du fœtus du milieu liquide qui l’entoure. Au cours du 8ème mois de grossesse, il va commencer à se détacher progressivement mais il peut subsister après l’accouchement, notamment dans les plis de la peau. Le vernix caseosa se compose de desquamation des cellules superficielles de la peau et de débris du liquide amniotique. Son épaisseur sur la peau du bébé peut être plus ou moins variable. Les bébés nés à terme en ont généralement beaucoup moins sur la peau que ceux nés prématurément.
2- À quoi sert le vernix caseosa ?
En formant un film adhérant et imperméable sur l’épiderme, le vernix caseosa protège la peau du fœtus pendant la grossesse lorsque celui-ci baigne dans le liquide amniotique. Il permet également de lubrifier la peau pour faciliter le passage du bébé dans le bassin lors de l’expulsion. Grâce à ses propriétés nourrissantes et antioxydantes, le vernix caseosa protège également la peau fragile et immature du bébé contre les agressions extérieures en formant une barrière naturelle imperméable. Il permet enfin de maintenir une certaine acidité sur la peau. Cette substance naturelle possède donc plus d’un atout !
3- Faut-il laisser le vernix caseosa sur la peau de bébé ?
Dans les jours suivants la naissance, le vernix caseosa disparaît naturellement en desquamant, habituellement 2 à 3 jours plus tard. Compte tenu de son rôle protecteur, de nombreux médecins ainsi que les sages-femmes conseillent de le laisser sur la peau après l’accouchement. La Haute Autorité de Santé recommande elle aussi de reporter le bain, notamment en cas de prématurité chez le nourrisson, afin d’éviter tout refroidissement du nouveau-né. Pour cela, il convient d’éviter les bains trop prématurés et de ne pas retirer tout le vernix caseosa juste après la naissance, afin de laisser celui-ci pénétrer la peau pour la nourrir et la protéger, notamment contre toute infection cutanée bénigne. Reporter le premier bain permet également aux restes de vernix caseosa de réduire les pertes thermiques qui suivent la naissance.
Si vous souhaitez que votre bébé profite des bienfaits du vernix caseosa, sachez donc que le bain n’est pas obligatoire après la naissance : vous pouvez attendre les jours suivants pour le lui donner. De simples linges sont alors suffisants pour procéder à la toilette du nourrisson. Si vous souhaitez lui donner le bain, c’est néanmoins possible : attendez simplement 6 heures et vérifiez avec la sage-femme ou le pédiatre que sa température soit normale.

Source :Par Quitterie Pasquesoone

الأربعاء، 18 مايو 2016

PROBLÈME DU DÉBIT ARTÉRIEL PENDANT LA SÉANCE DE DIALYSE - conduite à tenir

- causes possibles  
signes -
- conduite à tenir



دعواتكم لوالدي بالرحمة




الأربعاء، 9 مارس 2016

L’hystérosalpingographie



                                                                                                            L’hystérosalpingographie
[1] A quoi cela sert-il ?
Photo de Mostefa Grioui.

L’hystérosalpingographie étudie la cavité utérine et les trompes qui ne sont pas visibles sur des radiographies standards.
Cet examen est très utile dans les bilans de stérilité, de saignements génitaux, de douleurs, d’avortements tardifs…
Elle recherche des anomalies telles qu’une tumeur, un rétrécissement des voies génitales ou une obstruction des trompes.
[2] Qu'est-ce que c'est ?
Cet examen utilise les rayons x et un produit de contraste à base d’iode.
Son principe consiste à opacifier et visualiser la cavité de l’utérus et des trompes. Le produit de contraste est injecté dans l’utérus à travers le col grâce à une sonde. Il diffuse et tapisse les parois de l’utérus puis des trompes qui seront visibles sur les clichés grâce aux propriétés radio opaque de l’iode.
Dans la salle d’examen, on trouve :

L’appareil qui se compose d’une table basculante au-dessus de laquelle un bras articulé muni d’un tube à rayons x se déplace.
Le pupitre de commande derrière lequel se trouve le personnel médical est séparé du reste de la pièce par une vitre plombée protectrice.
[3] Comment se déroule l'examen ?

C’est un médecin spécialiste en radiologie qui pratique cet examen.
Après avoir signalé votre arrivée à l’accueil, on vous fera patienter quelques minutes en salle d’attente.
Avant l’examen, vous passerez au vestiaire pour vous dévêtir (on vous indiquera les vêtements qu’il faut ôter).
N’oubliez pas d’aller aux toilettes pour plus de confort.
Pendant l’examen, vous êtes allongé sur le dos ou en position gynécologique.
L’examen se déroule dans des conditions stériles. Le radiologue commence par mettre le spéculum puis introduit la sonde dans la cavité utérine. Le produit de contraste est injecté lentement. Plusieurs clichés sont alors réalisés dans différentes positions afin de suivre sa progression dans l’utérus puis dans les trompes. A ce moment-là, ne bougez pas et bloquez votre respiration. La sonde est enlevée après l’examen.
L’examen dure environ 30 minutes.
En cas de problème lors de l’examen, n’hésitez pas à le signaler au personnel médical.
Après l’examen, utilisez une protection féminine, un écoulement du produit pouvant se produire durant un ou deux jours.
Les résultats : le radiologue vous donnera un premier commentaire. Il vous donnera son compte rendu que vous ramènerez chez votre gynécologue dans les plus brefs délais. Ce dernier vous expliquera les résultats et vous donnera la conduite à tenir.
[4] Est-ce douloureux ?
L’introduction de la sonde est le moment le plus douloureux mais il ne dure que quelques instants.
L’injection du produit de contraste peut être responsable de douleurs identiques à celles des règles. Elles sont passagères et des antalgiques contre la douleur seront prescrits si besoin.
[5] Comment se préparer ?
Cet examen se réalise dans la première partie du cycle menstruel (dans les 10 jours après le début des règles après le fin de celles-ci))
Il ne devra pas être réalisé en cas de grossesse.
Aucune préparation n’est nécessaire.
Pas besoin d’être à jeun : vous pouvez manger, boire et prendre votre traitement habituel.
Si vous êtes allergique, des comprimés à prendre la veille et le jour de l’examen pourront vous être prescrits.
Apportez :

La lettre de votre médecin et vos ordonnances.
Vos anciennes radiographies si vous en avez, qui permettront une comparaison.
Signalez :
Si vous êtes allergiques.
[6] Quels sont les risques ?
L’introduction de la sonde peut irriter la muqueuse utérine ce qui est sans gravité. Une infection est possible mais elle reste exceptionnelle et sera prévenue par une désinfection soigneuse du col.
Le produit de contraste peut être responsable d’une réaction allergique dans de rares cas. Si vous présentez un terrain propice, des comprimés donnés la veille et le jour même la limiteront.
Des rayons x : ils sont sans danger du fait des très faibles doses utilisées.
HysterosalpigographieHysterosalpigographie

 

 

 

دعواتكم لوالدي بالرحمة

 




Prise en charge du diabète gestationnel






الجمعة، 29 يناير 2016

Les causes de l'azoospermie



Les causes de l'azoospermie 

 

 

 

 

Voici certainement le point le plus sensible et le plus complexe de par la diversité des causes, elles-mêmes difficiles à assimiler, mais également de par le fait que parfois aucune origine ne peut être clairement établie ; parfois plusieurs facteurs peuvent intervenir et il devient difficile de faire un tri sans faire fausse route ! Encore une fois le rôle de l’andrologue est primordial mais les délais d’attente entre les examens sont insupportables et poussent à imaginer ou espérer tout et n’importe quoi !

Deux formes d’azoospermie existent :
  • L’azoospermie sécrétoire (absence de production des spermatozoïdes par les testicules).
  • L’azoospermie excrétoire ou obstructive (les spermatozoïdes sont correctement produits au niveau des testicules, mais il existe un problème à un niveau quelconque du transport vers l’extérieur – parce que les canaux déférents sont obstrués ou inexistants).
Pour résumer la situation, soit Monsieur possède bien des spermatozoïdes qui sont emprisonnés à l’intérieur des testicules, soit Monsieur ne possède aucun spermatozoïde, par faute de spermatogenèse.
Afin de mieux comprendre les causes de l’azoospermie sécrétoire et excrétoire, souvenons-nous des examens demandés par l’andrologue : la prise de sang à visée hormonale et génétique (caryotype).
Prise de sang à visée hormonale : examen tentant de s’assurer d’un bon fonctionnement hormonal. Dans ce cas le taux de FSH et de LH va être étudié. Ces hormones sont à la base de la spermatogenèse et tout dysfonctionnement de celles-ci pourrait amener à craindre une azoospermie sécrétoire.
Ce pourrait être le cas par exemple si Monsieur a subi une orchydopexie dans l’enfance suite à une cryptorchidie, surtout si celle-ci a été réalisée tardivement (au-delà de 2 ou 3 ans principalement). Dans ce cas, si celle-ci est bilatérale (c’est-à-dire une non descente des deux testicules), la probabilité qu’elle en soit la cause est assez marquée. Par contre, si celle-ci est unilatérale (non descente du testicule droit OU gauche), la probabilité diminue, mais sans pour autant être nulle.
Pourquoi la cryptorchidie (surtout traitée chirurgicalement très tard) peut-elle être la cause d’une azoospermie ?
La position anormale du testicule, où la température est plus élevée (35° à 37° dans l'abdomen) que dans le scrotum (33°), est responsable de la dégénérescence des cellules germinales. Le testicule perd ainsi toute possibilité de spermatogenèse. L'effet de la température sur le testicule s'exerce à partir de 2 ou 3 ans, avec des changements dégénératifs progressifs et sévères, ce qui implique un traitement précoce avant 3 ans.
Le testicule controlatéral peut également subir des lésions dégénératives induites par le testicule ectopique, peut-être par un mécanisme auto-immun : le testicule ectopique produirait des auto-anticorps. Ce pourrait être la raison pour laquelle ce testicule controlatéral, sensé bien fonctionner, ne produise lui non plus aucun spermatozoïde.
Ce problème serait le reflet d’une azoospermie sécrétoire.

L’azoospermie sécrétoire serait en soi un « problème » lié à l’évolution reprise dans le schéma ci-dessus.

Prise de sang à visée génétique : examen qui permet l'étude des chromosomes (nombre et forme). La détection d’une anomalie génétique pourra éventuellement être la cause d’une azoospermie.

Pourquoi ?
1) Anomalie du nombre de chromosomes : chacun d'entre nous a 23 paires de chromosomes, soit 46 chromosomes au total.
Un chromosome en plus ou en moins peut être cause d'azoospermie : l'exemple le plus classique est le syndrome de Klinefelter, où l'homme a un chromosome féminin en trop. Au lieu d'avoir 46 chromosomes, dont un chromosome X (celui hérité de la mère) et un chromosome Y (celui hérité du père), l'homme porteur du syndrome de Klinefelter a un chromosome féminin X en plus, soit 47 chromosomes avec pour formule chromosomique 47 XXY, au lieu de 46 XY.
2) Anomalie de structure des chromosomes : au lieu de se constituer en 23 paires de chromosomes homologues c'est à dire absolument identiques deux à deux, l'un des deux chromosomes d'une des 23 paires se colle à l'un des deux chromosomes d'une autre paire. Par exemple, l'un des deux chromosomes de la treizième paire se colle à l'un des deux chromosomes de la quatorzième paire. On dit alors qu'il y a translocation : quand on compte les chromosomes, il en manque un, mais en fait il est collé à un autre. La translocation 13 ->14 est cause de stérilité masculine.

3) Anomalie d'un gène. Un gène est une partie d'un chromosome qui dirige le fonctionnement des cellules de l'organisme. Comme les chromosomes sont réunis en paire identique, un même gène est situé sur les deux chromosomes d'une même paire.
Par exemple le gène appelé CFTR est situé sur chacun des deux chromosomes de la paire 7. Si l'un de ces deux gènes est anormal (on dit qu'il est " muté "), il empêche le développement des canaux déférents et des vésicules séminales qui permettent au sperme de passer du testicule à l'éjaculat.
Ce peut être le cas par exemple de l’allèle 5T (allèle récessif) qui est une des nombreuses mutations du gêne CFTR et responsable entre autre de la mucoviscidose.
Cela dit dans le cas précis de l'allèle 5T, il faut que celui-ci soit retrouvé plusieurs fois dans l'analyse génétique pour être la cause potentielle de l'azoospermie, un seul ne suffit pas à l'expliquer!
Lorsqu’une mutation de ce gêne est détectée chez Monsieur, une analyse du même type sera de suite demandée chez Madame afin de déterminer les probabilités de transmettre la maladie à l’éventuel enfant à venir.

Ce problème serait le reflet d’une azoospermie excrétoire.




Sur ce schéma on voit très bien le canal déférent, qui, soit bouché, soit inexistant, explique très bien le fait que les spermatozoïdes puissent être enfermés à l’intérieur des testicules.

 

 

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